On peut y voir une falaise, un glacier, une banquise sous l’effet du dérèglement climatique.
L’allusion est autre, c’est le dernier stade de la stabilité, le dernier cri avant la rupture. Il n’y a pas d’ambiguïté, plus rien ne retient la masse.
Les effondrements sont les pièces les plus massives. Il n’y a pas de fioritures, juste de la puissance. Monumentales, elles nous dominent, nous écrasent et renvoient à l’homme l’image de sa petitesse pour le ramener à l’humilité.
Effondrement







